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L'employabilité au cœur de l'engagement et de la performance

Cette année, l’une des priorités des dirigeant.es d’entreprise devra être de réactiver l’engagement de leurs collaborateurs. Le développement de l’apprenance et la responsabilisation de tous se révèlent être des leviers puissants. Cela répond aussi à de forts enjeux business dans un contexte d’évolution continue des compétences. Ainsi un actif consacrera en moyenne 2h48[1] de formation par jour en 2035 contre 30min[2] aujourd’hui. 

Une prise de conscience timide

Qu’il s’agisse des collaborateurs ou des managers, l’importance de développer ses compétences n’est pas encore évidente. En effet, moins de la moitié des actifs français déclarent avoir besoin de monter en compétences ou de se réorienter professionnellement dans les cinq prochaines années[3]. Les managers de proximité et les membres des Comités de Direction sont davantage prêts à évoluer – avec respectivement 53% et 52% de taux de retours positifs sur ce sujet[4]. Mais cela sera-t-il suffisant pour faire face aux enjeux d’évolution des entreprises et des métiers ?

Un accompagnement lacunaire

Les employeurs ont l’obligation légale d’assurer l’adaptation des salariés à leur poste de travail et le maintien de leurs capacités à occuper l’emploi au regard notamment de l’évolution des emplois, des technologies et des organisations. Pourtant seulement 30% des actifs français ont été accompagnés via un entretien de performance en 2021 et seulement 16% déclarent avoir reçu du feedback[5]. Et – ce – alors que la formation dispensée par l’employeur reste la première source d’apprentissage[6].

36% des actifs français se forment de plus en plus de leur propre initiative[7]. Cela interroge sur la capacité des entreprises à fournir des contenus d’apprentissage pertinents mais aussi à s’assurer de la qualité de ce qui est consommé de manière autonome. L’explosion des technologies éducatives numériques permet une démocratisation des savoirs mais rend compliquées la lisibilité et la pertinence de l’offre. 

L’émergence de nouveaux métiers n’apparait comme une opportunité pour le futur du travail que pour 25% des actifs français[8]. Si ce sujet reste peu pris en main, il peut en effet devenir davantage un risque voire une menace, à cause d’un décalage entre les besoins des entreprises et les compétences des salariés.

Quel rôle pour le management ?

Face à ces nouveaux enjeux, certaines entreprises ont développé une véritable culture de l’apprenance. Venez découvrir le témoignage d’Octo Technology, qui partage avec nous quelques-unes de ses bonnes pratiques.

Pour aller plus loin

Nous vous proposons notre Parcours Culture Scan pour aligner vos enjeux et votre expérience collaborateur. Contactez-nous : notre équipe se fera un plaisir de construire avec vous une offre sur-mesure.



[1] Etude Onepoint – « Future of Work : comment travaillera-t-on en 2035 ? »
[2] Estimation réalisée d’après les chiffres publiés par IBM (MIT, 2020)
[3] Enquête “Great Insights” réalisée en janvier 2022 par Great Place To Work® France auprès d’un échantillon représentatif de 4118 actifs français
[4] Ibid.
[5] Ibid.
[6] Ibid.
[7] Ibid.
[8] Ibid.



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